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Algérie Foot – Le sélectionneur du Burkina Faso Kamou Malo, a indiqué que le match joué contre le Niger était plus difficile que celui contre l’Equipe d’Algérie.
Invité de la chaine burkinabé RTB, l’entraineur du Burkina Faso Kamou Malo a assuré qu’il avait nullement peur de l’Algérie. « Pour moi quand on partait au Maroc, le match le plus difficile n’était pas contre l’Algérie, c’était contre le Niger. Le fait que c’est le début de la compétition et que l’équipe avait subi ont rendu le match contre le Niger plus diff
Il a ensuite ajouté : « Je n’avais pas peur de l’Algérie, puisque je n’avais aucune pression. La pression se trouvait du coté de l’Algérie, qui devait montrer sa supériorité surtout après un score fleuve de 8-0 (contre le Djibouti. »
L’équipe d’Algérie n’a pu faire mieux qu’un match nul face à son homologue du Burkina Faso (1-1), à Marrakech (Maroc), pour le compte de la deuxième journée (Groupe A) des qualifications à la Coupe du monde 2022. Les Verts avaient ouvert le score à la 18′ minute de jeu, grâce au meneur de jeu Sofiane Feghouli. Mais les Etalons ont pu revenir dans la rencontre grâce à Abdoul Tapsoba.
Malgré le nul, l’Equipe d’Algérie a pu conserver la première place de son groupe grâce à une meilleure différence de buts par rapport aux Etalons. Mais les Fennecs devront élever leur niveau pour la suite de leur parcours lors de ces qualifications pour le Mondial 2022 s’ils veulent aller au Qatar.
Après Abdelaziz Belkhadem et Ahmed Ouyahia, l’ancien président du MSP, Aboudjerra Soltani, revient sur la scène médiatique. Mais au lieu d’un « retour» symbolique habituel, l’ancien ministre d’Etat «sans portefeuille» se propose de revenir à la tête de son parti.
Et si Soltani veut revenir à la tête du MSP, ce n’est pas que pour son prestige personnel. L’homme veut entraîner, de nouveau, le parti islamiste dans le giron du pouvoir. Il espère ainsi voir sa formation politique reprendre du service au nom du « consensus » national. «La politique n’est pas faite que du noir ou du blanc. Ils sont nombreux, dans le Conseil consultatif, à vouloir réintégrer le gouvernement pour reconstituer le consensus national », indique Soltani sur les colonnes d’Echorouk.
C’est la deuxième fois, en l’espace de quelques jours, que l’ancien président du MSP fait une sortie médiatique pour demander au prochain conseil consultatif (conseil national du parti) de renverser Abderrezak Makri et mettre fin ainsi à près de trois années de « rébellion ». Car, depuis que Abderrezak Makri a pris les rênes du MSP, le parti s’est radicalisé et fait partie intégrante de l’opposition au pouvoir. Et le ton utilisé par l’actuel président du parti est tellement tranché qu’on ne peut le soupçonner d’ambiguïté. Son opposition est claire, nette et dépourvue de zones d’ombres.
L’initiative d’Aboudjerra Soltani semble s’inscrire dans une démarche globale de reconstitution de l’Alliance présidentielle, enterrée depuis que ses trois principales figures ont été évincées de leurs partis respectifs. Mais, ironie de l’Histoire, Abdelaziz Belkhadem, tout autant qu’Ahmed Ouyahia et Aboudjerra Soltani reprennent l’initiative ces derniers temps dans la perspective d’un retour aux affaires.
Le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane s’est exprimé sur le processus de récupération de l’argent de la corruption dans notre pays. On vous en dit plus, juste ci-dessous.
En effet, le chef de l’Exécutif et premier argentier du pays s’est prononcé. Cela dans le cadre d’une élocution qui s’est tenue au sein du Conseil de la Nation. Et ce, dans le but de présenter le nouveau plan d’action du gouvernement. En outre, parmi les sujets abordés lors de cet événement, il y a le sujet très épineux de la récupération de l’argent de la corruption en Algérie.
Des sommes astronomiques qui, pour rappel, ont été détournées par d’anciens dirigeants et hommes d’affaires du pays. Vous voulez en savoir davantage à ce propos ? On vous livre, ce mardi 14 septembre 2021, plus de détails à cet égard. Alors, il a été décidé de procéder à « un règlement à l’amiable » avec les personnes corrompues qui ont volé des biens du Trésor public pendant des années maintenant.
C’est-à-dire d’alléger, voire de débarrasser ces fraudeurs de leur Une stratégie qui servirait, dans le plan, à récupérer ces sommes d’argent détournées. Et par conséquent, aider le secteur de l’économie dans sa relance. C’est ce qu’on a pu savoir du quotidien national Le Soir d’Algérie.
La stratégie du « règlement à l’amiable » : ce que pensent certains hommes politiques
Si ce plan paraît, de prime abord, être une solution efficace pour récupérer les fonds volés, qu’en saurait-il vraiment dans la pratique ? On commencera par le témoignage du leader du Front El-Mostakbel, à savoir Abdelaziz Belaïd
Ces «retour» sont-ils le signe du renforcement du clan présidentiel ou c’est plutôt un nouveau scénario de succession
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